Ce printemps, il n’y aura que quatre grands combats de reines, et le petit combat de la Vifra, avant la finale nationale des 6 et 7 mai. Pas de combat ce printemps dans les districts de Martigny et de Sierre. «Il y a un match de moins cette année», reconnaît Dominik Pfammatter, président de la Fédération d’élevage de la race d’Hérens.
L’organisation d’un combat qualificatif est de plus en plus difficile. Voici pourquoi.
Les raisons 1. De petits syndicats
Le président de la fédération a une explication à ce manque de combats: «Les syndicats d’élevage sont toujours plus petits.» Ce n’est pas Samuel Terrettaz, président du syndicat d’élevage de Sembrancher, qui le contredira. Son syndicat ne compte que 13 membres. Selon le tournus établi en Entremont, Sembrancher doit mettre sur pied un combat tous les quatre ans. «Ce n’est pas simple. Nous sommes toujours les mêmes au comité et...