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Droit au but: l'interview de Larissa Kuonen

Le foot un peu, beaucoup, passionnément… ou pas du tout. Douze personnalités valaisannes répondent à notre questionnaire. Aujourd’hui Larissa Kuonen, œnologue de la cave Gregor Kuonen à Salquenen.

11 juil. 2018, 12:00
Lorsque ses deux enfants et son travail d'oenologue lui laissent un peu de temps libre, Larissa Kuonen adore regarder les matchs de la Nati.

Quel est le but de votre vie?
D’être heureuse. Ça paraît banal, mais c’est un sacré challenge. Il faut établir une échelle de valeurs. Choisir des priorités. Faire le choix du bonheur, c’est une décision quotidienne.

Quel est le but que vous avez manqué?
Ouah… Vous êtes bien curieux au «Nouvelliste». Je demande un joker!

Vous êtes plutôt Neymar ou Behrami?
Aucun des deux. A choisir, je craque pour Yann Sommer.

C’était quand la dernière fois que vous avez simulé?
(Eclats de rire.) Mais qui a pondu un tel questionnaire?

Quel est le tacle que vous mourez d'envie de donner?
Ce n’est pas vraiment mon genre de tacler. Je préfère régler les problèmes autrement.

Ça vous arrive de vous sentir hors-jeu?
Oui, parfois. Quand ça m’arrive, je fais en sorte de retrouver mes marques rapidement. Mais je ne vous en dirai pas plus.

Vous donneriez un carton jaune, à qui ou à quoi?
Aux gens qui ne sont pas honnêtes. L’honnêteté, dans tous les domaines, c’est une valeur que je place au-dessus de tout.

Pour vous une bonne équipe, c'est…
Des gens capables de se soutenir. De tirer tous à la même corde. De s’engager pour une cause, une entreprise ou un but à atteindre.

La scène que vous passeriez à la VAR (scène de vie que vous auriez envie de revoir)?
La naissance de mes enfants, Oan et Ava. Les deux plus beaux événements de ma vie.

Vous êtes le plus grand supporter de…
La Nati, of course!

Quel est votre plus sérieux adversaire?
Le temps. Quand on est une maman de deux jeunes enfants, qu’on aime son travail et qu’on a de la responsabilité au sein de l’entreprise familiale, le temps c’est souvent ce qui fait le plus défaut. Et c’est épuisant de courir après le temps.

Au fait, le foot, vous aimez?
Oui. Sinon je ne serais pas en train de vous répondre. (Rires.) Plus sérieusement, j’aime bien le foot, mais je n’en fais pas une priorité. Les enfants et la vinification d’abord. Si je ne peux pas voir un match parce que je m’occupe de mes enfants, ce n’est pas si grave pour moi.

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