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Décryptage de l’alarmant testament de Joël Rossier

Les quatorze rapports remis par l’ex-chef du Service de l’environnement contiennent-ils une «bombe» sanitaire ou institutionnelle? «Le Nouvelliste» a consulté une partie de ces documents, qui évoquent des pollutions connues et des dysfonctionnements au sein du département de Jacques Melly. Le conseiller d’Etat a réagi aux critiques ce vendredi.

11 oct. 2019, 17:00
Jacques Melly a réagi au rapport Rossier, accompagné de onze cadres du canton, ce vendredi devant sept médias et la cheffe de groupe des Verts.

Des mois d’un combat acharné résumé sur une simple liste. Celle de quatorze rapports «rédigés de nuit ou sur des jours de congé» par un haut fonctionnaire soucieux d’améliorer l’action de son service. Deux semaines après sa démission, le chef du Service valaisan de l’environnement (SEN) Joël Rosier alerte désespérément l’Inspection des finances (IF), l’autorité de haute surveillance du canton.

En vertu du principe de transparence de l’Etat, sept médias dont «Le Nouvelliste», mais aussi les Verts, ont obtenu cette lettre datée du 3 juillet et les 510 pages qui constituent la détermination de l’ancien employé sur la libération de son obligation de travailler par le Conseil d’Etat. Par cette démarche, Joël Rossier conteste la décision de l’exécutif. Ce vendredi, Jacques Melly, accompagné de onze cadres de l’administration, a répondu aux critiques de Joël Rossier.

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