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De l’ombre de Chandoline à la lumière du sénat, l’itinéraire de Marianne Maret jusqu’aux livres d’histoire

Il y a eu Gabrielle Nanchen au National. Il y a eu Esther Waeber-Kalbermatten au Conseil d’Etat et Viola Amherd au Conseil fédéral. Marianne Maret rejoint ces trois noms de femmes qui ont marqué l’histoire du canton en devenant pionnières à leurs fonctions. La première sénatrice valaisanne nous raconte qui elle est et où elle va en se souvenant d’où elle vient.

29 nov. 2019, 17:00
Marianne Maret, première conseillère aux Etats du Valais, rembobine pour nous son parcours de femme valaisanne.

Marianne Maret, la PDC. Marianne Maret, l’ex-présidente de Troistorrents. Marianne Maret la députée. Marianne Maret l’ex vice-présidente du PDCVr. Marianne Maret la maman et grand-maman. On vous connaît et on ne vous connaît pas. Par exemple, votre nom de jeune fille est un nom alémanique, Bachmann. Quelles sont vos origines?

Je suis née à Martigny en 1958. Mon père était Zurichois. Il est venu travailler en Valais en tant que responsable de la construction de la station électrique de Lavey. Il avait posé ses valises à Saint-Maurice et y a rencontré ma mère qui était originaire du val d’Illiez mais qui travaillait au café-restaurant familial du Soleil. Un établissement qui n’existe plus depuis longtemps.

Mon enfance un peu esseulée a changé quand j’ai su faire du vélo et que j’ai pu pédaler jusqu’à Champsec.

Vous êtes née à Martigny, mais vous avez grandi à Sion. A quoi ressemblait cette enfance...

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