Plus de peur que de mal. La poudre blanche contenue dans la lettre suspecte reçue lundi par la Chancellerie de l’Etat du Valais n’est autre que de l’amidon. C’est ce qui ressort ce mardi d’une analyse menée par le Centre universitaire romand de médecine légale, à Lausanne. «Les deux collaborateurs du canton qui avaient été acheminés à l’hôpital de Sion pour y subir des contrôles s’en sortent indemnes, mais ils sont choqués», relève Stève Léger, porte-parole de la police cantonale.
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Le chancelier d’Etat Philipp Spoerri fait également part de son soulagement quant à l’origine de cette substance. Il condamne «fermement» cet acte anonyme, qui est «une forme de menace et de violence à l’encontre de nos collaborateurs. Cette manière de faire, choquante, va à l’encontre de la culture de dialogue qui doit prévaloir entre...