Dire qu’on l’attendait au contour est un peu exagéré. Après son court-métrage d’horreur intitulé «Tapes» et salué par la critique, Mathias Roch renoue avec l’actualité cinématographique en présentant son premier long-métrage, «Brelindzè», qu’il a écrit et réalisé avec son compère Alex Kangangi, un conte onirique et puissant principalement tourné dans la région d’Evolène.
Intrigant, le métrage se propose de suivre l’enquête d’une jeune reporter dans une région où se déroule un phénomène particulier: au dire des habitants, la lune raconterait des histoires…
«Brelindzè» est votre premier long-métrage. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans cette aventure?
A titre personnel, j’ai toujours apprécié la photographie et la mise en scène et je trouvais très intéressant de pouvoir mêler les deux domaines dans un seul média. C’est pour cela que je me suis lancé, avec Alex, dans la réalisation de ce film. De plus, nous avions une histoire à raconter...