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Cinéma: les sorties de la semaine à ne pas rater

Les salles obscures valaisannes vous proposent quelques perles cinématographiques à ne pas manquer en ce mois de mars.

A peine apparu au large de Gaza, Apollon disparaît…

«L’Apollon de Gaza»

Depuis 1992, Nicolas Wadimoff alterne fictions («Clandestins», «Opération Libertad») et documentaires («L’accord», «Spartiates», «Jean Ziegler, l’optimisme de la volonté»). L’apparition mystérieuse d’une statue d’Apollon lui permet de revenir à Gaza où le réalisateur suisse avait déjà tourné «Aisheen» (2010), mixte inouï de vitalité et de désespérance. Propos d’un cinéaste aussi engagé que lucide.

C’est votre troisième film consacré à la question israélo-palestinienne. Qu’est-ce qui vous a incité à revenir à Gaza?

Quel que ce soit le film sur lequel je suis en train de travailler, j’ai toujours dans un coin de ma tête quelque chose qui me rattache à la Palestine et plus particulièrement à Gaza. Depuis que j’y ai tourné «Aisheen», j’ai le sentiment d’avoir laissé quelque chose d’inachevé, d’avoir abandonné des proches quelque part. Un peu comme quand on visite des personnes en prison: on n’est jamais très à l’aise à l’idée que ces gens...

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