Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

César Ritz, le chevrier de Niederwald devenu l'hôtelier des rois

Le Théâtre du Croûtion revisite dès vendredi soir au Bouveret l’histoire de cet hôtelier haut-valaisan qui a donné son nom aux plus luxueux palaces du monde. En quatre phrases, retour sur ce destin hors-norme, trop méconnu en Valais.

06 juil. 2017, 14:24 / Màj. le 06 juil. 2017 à 17:30
César Ritz a donné son nom à d'illustres palaces à travers le monde. Le Croûtion raconte l'histoire de ce haut-valaisan cet été au Bouveret.

L’inscription est à peine lisible sur cette fontaine usée par le temps sur la place du village, qui n’a de place que le nom. «Parcourir le monde avec des ailes à l’âme et des désirs brûlants dans le cœur». Comme un appel à s’envoler, à s’affranchir de ce coin reculé de la Vallée de Conches, la phrase incarne le destin d’un gamin de Niederwald.

Un jeune cadet de 13 enfants au prénom d'empereur, né en hiver 1850, que la statue en bronze dressée sur la fontaine fige dans une attitude de gardien de chèvres et qui deviendra plus tard l’hôtelier des rois. Autour du village de 45 âmes, un sentier retrace l’histoire de l’enfant du pays. Cette histoire, c’est celle de César Ritz, que se propose de raconter le théâtre du Croûtion au Bouveret dès vendredi 7 juillet et jusqu’au 12 août.

>>A lire aussi: Le Croûtion marchera sur les...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias