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Ces Valaisans qui ont marqué l’actualité 2018: Vincent Proton, directeur d’Emmaüs Sion, victime collatérale de la taxe au sac

Que sont-ils devenus? «Le Nouvelliste» a repris contact avec ces personnes qui ont fait l’actualité valaisanne en 2018. «Nous ne sommes pas des déchetteries.» En mai dernier, Vincent Proton, directeur d’Emmaüs Sion, poussait ce coup de gueule en compagnie d’autres œuvres caritatives, victimes collatérales de la taxe au sac. Depuis, les choses ont changé.

05 janv. 2019, 08:01
Vincent Proton nous avait accueillis lors du tri quotidien de la marchandise déposée durant la nuit devant Emmaüs Sion. Quelques mauvaises surprises étaient au rendez-vous.

Victime de comportements peu scrupuleux, Emmaüs a subi les effets de la taxe au sac au début de l’année 2018. «Parfois, on retrouve carrément des poubelles», expliquait en mai dernier au moment du tri des marchandises Vincent Proton, directeur de la communauté à Sion. Un cas loin d’être isolé. Caritas, Job Transit ou encore l’Aslec s’étaient joints à ce coup de gueule, espérant une prise de conscience de la population. Sept mois après, ces comportements sont heureusement devenus rares, mais la mise en œuvre du principe de pollueur payeur continue de peser sur les finances d’Emmaüs.

A voir aussi: Taxe au sac en Valais: «Parfois, on retrouve carrément des poubelles», les comportements peu scrupuleux pèsent sur Emmaüs

Comment a évolué la situation depuis la parution de l’article en mai dernier?

Cet article nous a fait beaucoup de bien. Les gens ont compris que l’on devait payer pour l’élimination des déchets,...

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