Franz Weber est cet homme que les Valaisans auront adoré détester. L’écologiste fait une entrée remarquée dans le canton au début des années septante, se présentant comme le grand défenseur de la nature, l’ennemi des villes en montagne. «Le Nouvelliste» de l’époque, comme le Valais de manière générale, ne sera pas tendre à son encontre: «pitre», «guignol», «tricheur». Dans les années septante et huitante, Franz Weber est cité plus d’un millier de fois dans le quotidien valaisan. La décennie suivante, l’homme se fait plus discret. Il disparaît des radars avant de revenir, en force, à l’aube du nouveau siècle. Avec l’initiative contre les avions de combats, il se veut le libérateur du bruit dans les zones touristiques. Avec la Lex Weber, le combattant du béton. Retour sur ces deux moments où Franz Weber et Valaisans en sont venus aux mains. Littéralement.
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Ces moments où Franz Weber et le Valais en sont venus aux mains
Du début des années septante à l’initiative sur les résidences secondaires, Franz Weber s’est souvent retrouvé aux prises avec les Valaisans. Retour sur ces épiques moments.
04 avr. 2019, 20:14
Le 26 août 1976 à la Croix-de-Coeur à Verbier, il en vient aux mains avec le Conseiller national Rodolphe Tissières.
Keystone
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