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Ces "amis" enquêteurs qui vous veulent du bien

Les citoyens participent toujours plus aux traques policières par le biais des réseaux sociaux et poussent les polices cantonales à s'y mettre.

21 juil. 2011, 05:01

Après le journalisme participatif, voici les enquêtes participatives. La tuerie de Nantes a donné lieu à une vaste traque sur Facebook, menée par de simples citoyens. Avant la police et les journalistes, les internautes ont découvert des informations sur le couple Dupont de Ligonnès propres à faire avancer l'enquête.

Lors de la disparition des jumelles, Livia et Alessia, dans le canton de Vaud, des témoignages postés sur Facebook ont révélé des pistes inexplorées.

Plus près de chez nous, une jeune Chablaisienne disparue a été retrouvée par sa famille grâce à une piste émise sur Facebook. Son frère avait pris l'initiative de créer un groupe sur ce réseau social. En quelques heures, des milliers d'"amis" l'avaient rejoint et publiaient des quantités de messages. Le jeune homme, que nous appellerons Marc, avait fait le choix de rendre public l'état de santé psychique de sa soeur et de donner son numéro de portable,...

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