L’engouement est bien là. Depuis que les Valaisans ont accepté le 4 mars que ce sont 130 nouveaux citoyens élus qui réécriront la Constitution, les partis traditionnels et mouvements citoyens enregistrent les premières candidatures spontanées.
Mais tout reste à faire, tant la stratégie de campagne pèsera lourd sur le résultat qui sortira des urnes, vraisemblablement en novembre prochain. En effet, selon la composition des listes, leur nombre et leurs entêtes politiques ou neutres, la présence de citoyens hors système pourrait être plus ou moins menacée pour le fameux quorum. Un quorum fixé en Valais à 8% et qui exige donc qu’une liste obtienne ce pourcentage de voix pour entrer dans la répartition des sièges à l’intérieur du district, puis de l’arrondissement.
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