La qualité de vie avant tout. Pour Laurent Clavien, 37 ans, travailleur social valaisan, hors de question de sacrifier sa vie privée sur l’autel de la carrière professionnelle. «Il a toujours été important pour moi d’avoir une vie enrichissante en dehors de mon métier.Je ne me voyais pas bosser du lundi au vendredi et d’avoir seulement deux jours par semaine pour me reposer et enrichir ma vie privée», confie-t-il.
Sa première paternité, il y a trois ans et demi, l’a encore conforté dans cette manière de concevoir l’existence. «Je ne voulais pas faire des enfants pour ne les voir qu’un tout petit moment le soir en rentrant du travail et en étant fatigué.»
Il a appris le lâcher prise
Il travaille ainsi à l’Aslec de Sierre à 60% et s’occupe de ses deux fils, Amaël (3 ans et demi) et Lohan (4 mois) tout le reste du temps. Une manière...