Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Avec José Vouillamoz et Didier Joris, on a dégusté la diolle, disparue depuis plus d’un siècle

José Vouillamoz et Didier Joris ont ressuscité la diolle, un vieux cépage valaisan disparu depuis 1903. Quelques privilégiés, dont nous fûmes, ont dégusté le premier millésime.

02 avr. 2018, 18:30
Didier Joris et José Vouillamoz entourent la créatrice de l'étiquette, Marilina Tsitsa .

"Superbe! Bravo Didier!" Pour l’ampélologue José Vouillamoz, c’est un grand moment. Il déguste pour la première fois la diolle qu’il a contribuée à sauver en 2007 et que son ami Didier Joris a vinifiée.

"Ça part sur les agrumes, orange, mandarine, une note un peu amigne en premier nez, puis les épices arrivent… Le poivre blanc qu’on retrouve dans le païen ainsi que des côtés un peu safranés. Il y a une belle densité en bouche… Et une vivacité assez géniale! " Le vigneron-éleveur de Chamoson peut être fier de son coup. Il a le sourire des sales gamins qui vont encore faire parler d’eux. Avec des traitements bios, une vinification sur lies jusqu’à la mise en bouteilles. Sans SO2 en moût, ni de levurage, une fermentation spontanée et aucun intrant, Didier Joris a laissé le cépage s’exprimer dans son jus le plus pur.

L’histoire commence il a plus de...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias