Depuis la dernière interview au Nouvelliste au sujet des Autorités de protection de l’enfant et de l’adulte (APEA), avez-vous reçu des réactions de parents insatisfaits de ces structures?
En six mois, j’ai eu un contact par semaine en moyenne. Mais, pour toutes ces personnes, le problème évoqué n’était pas souvent de notre compétence. Nous sommes une surveillance administrative. Donc, je m’étais engagé à analyser systématiquement les situations où des décisions prises par le Tribunal cantonal ou fédéral n’étaient pas respectées par les APEA. Cela ne concerne pas les décisions sur le fond des APEA par exemple. Nous avons quand même fait analyser les situations qui pouvaient montrer des dysfonctionnements d’APEA. À notre connaissance, après avoir fait analyser des dossiers par les inspecteurs, nous n’avons pas vu de problématique endémique dans les APEA.
Il y a six mois, vous dévoiliez qu’un rapport était réalisé sur le fonctionnement des APEA. Qu’en est-il?...