Dans un communiqué adressé aux médias, le conseiller d’Etat Maurice Tornay se dit «pris en tenaille entre secret de fonction et secret professionnel». Il garde sa ligne de défense et argue à nouveau que «le secret fiscal ou le secret professionnel rendent impossible une communication complète des éléments de ce dossier».
Il affirme – comme il l’avait déjà fait dans notre quotidien le 9 décembre 2013 - n’avoir «jamais été complice ou instigateur d’une quelconque fraude fiscale» au niveau de son activité professionnelle (ndlr: propriétaire de l’organe de révision de Giroud Vins SA).
En tant que conseiller d’Etat, Maurice Tornay assure que «les institutions ont fonctionné et joué leur rôle».
A noter que le conseiller d’Etat n’a pas souhaité donner d’informations complémentaires suite à la diffusion de ce communiqué émanant de l’Etat du Valais.