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Affaire BCVs - Alkopharma: pour Roberto Schmidt, «l’UDC n’a pas de souci à se faire»

Alors que l’UDC désire savoir si tous les administrateurs de la BCVs impliqués dans le crédit octroyé à Alkopharma ont renoncé à la prescription des faits, le grand argentier valaisan tente de rassurer.

19 juil. 2019, 15:30
A en croire Roberto Schmidt, toutes les précautions ont été prises pour préserver les intérêts de l'Etat dans cette affaire.

Suite aux révélations du «Nouvelliste» sur le rôle de l’avocat Jean-Yves Bonvin dans l’affaire BCVs - Alkopharma, le groupe UDC au Grand Conseil a interpellé le Conseil d’Etat, afin de savoir si ce dernier a obtenu une déclaration de renonciation à la prescription des faits qui pourraient leur être reprochés de la part de tous les anciens administrateurs et membres de la direction générale en fonction en 2009.

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Vendredi, Roberto Schmidt a voulu rassurer en indiquant que «le Conseil d’Etat a pris toutes les mesures nécessaires envers les anciens organes de la BCVs pour défendre pleinement les intérêts de l’Etat du Valais, en lien avec cette prescription.»

Toutefois, le conseiller d’Etat chargé des finances n’a pas souhaité apporter de précisions. Le groupe UDC s’inquiète du fait que la prescription sur dix ans devrait intervenir prochainement. En effet, les séances du conseil d’administration de la BCVs qui ont permis le crédit litigieux envers Alkopharma sont datées des 24 août et 26 octobre 2009.

«L’UDC n’a pas de raison de se faire du souci», ajoute Roberto Schmidt.

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