Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Affaire Alkopharma: la fusée politique décollera-t-elle?

Etat du Valais, partis politiques, commission de gestion, FINMA: tous ont réagi à l'affaire Alkopharma qui éclabousse la BCVs.

15 janv. 2018, 21:02
Roberto Schmidt, conseiller d'état, chef du département des finances et de l'énergie: «Le rôle de l’Etat est limité. Il n’a aucune possibilité de s’immiscer dans la gestion opérationnelle de la banque ni d’obtenir des informations sur la clientèle, pas même par le biais de l’Inspectorat cantonal des finances, en raison du secret bancaire.»

C’est une fusée à plusieurs étages qui a été allumée lundi. L’Etat, les partis politiques et la commission de gestion du Grand Conseil (COGEST) ont décidé d’intervenir dans l’affaire Alkopharma qui éclabousse la BCVs.

Rôle de l’Etat limité

Le gouvernement, 1er étage de la fusée, veut s’assurer que la BCVs a pris les mesures nécessaires pour respecter le droit dans ce dossier. Concrètement, le chef du Département des finances va adresser une lettre aux représentants de l’Etat au sein du conseil d’administration de la banque. «Le rôle de l’Etat est limité, explique Roberto Schmidt. Il n’a aucune possibilité de s’immiscer dans la gestion opérationnelle de la banque ni d’obtenir des informations sur la clientèle en raison du secret bancaire.» En tant que propriétaire à hauteur de 70%, l’Etat exerce ses droits d’actionnaire et a des compétences stratégiques. Comme définir le rôle de la BCVs dans l’économie valaisanne ou évaluer la...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias