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A trop être sur Facebook… La chronique de Noémie Schroeter

15 janv. 2020, 10:00
Noémie Schroeter, étudiante.

En parcourant les commentaires qui accompagnent certains articles de presse qui parlent d’activisme écologique, notamment dans la presse en ligne et les articles relayés sur les réseaux sociaux, il faut bien s’accrocher à son optimisme car on risque bien vite d’être gagné par une profonde amertume.

En effet, dans l’espace commentaire sous les articles qui parlent d’écologie et de climat, l’ambiance est loin d’être à la rigolade et on lit souvent des mots très durs et accusateurs, voire haineux, à l’encontre de jeunes activistes du climat, apparemment insupportables, qui ont «encore» réalisé une action devant telle ou telle banque ou organisé une quelconque manifestation dont les gens, visiblement, n’en peuvent tout simplement plus d’entendre parler.

Certaines vociférations sur Facebook sont si véhémentes que l’on n’est pas loin de se laisser convaincre: les actions dans la rue ne servent à rien et ne font rien avancer, les grèves sont ridicules et...

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