Il fait beau ce vendredi 13 juillet dans le Valais central. Rémy Vallotton (66 ans), qui ne peut presque plus marcher à cause d’une maladie, décide de se rendre sur les hauteurs d’Ayent avec son scooter électrique. «Il n’y avait pas de circulation, c’était calme.» Lorsqu’il souhaite redescendre à Sion quelques heures plus tard, il choisit de prendre un car postal avec son scooter électrique. «J’étais fatigué et je n’ai jamais eu de problème pour entrer dans le bus avec mon scooter car il est dans les normes de l’AI avec son 1 m 20 de long», raconte-t-il.
Le premier chauffeur met en cause la lourdeur du scooter
Le premier chauffeur faisant halte à l’arrêt de Botyre lui refuse pourtant l’accès au car. «Il était sympa, mais il m’a dit qu’il y avait de nouvelles directives qui l’empêchaient de charger un véhicule qui risquait d’endommager le car. C’est la première...