Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

21.12.2012 à 12 h 12

27 déc. 2011, 00:01
data_art_581157

L'INVITEE

La toute petite boule fait poc sur la très grosse boule, et des milliers de personnes lèvent les bras. A chaque balle de match gagnée par Roger Federer, c'est une ovation à flux tendu pour cet infatigable Suisse. Celui qui a été désigné il y a peu comme la personne la plus admirée au monde, après Nelson Mandela. Bilan de cette année 2011: sixième Masters, trentième participation de suite à des quarts de finales de Grand Chelem. Rien que ça. Le lumineux trentenaire nous donne toujours envie de porter des T-shirts à croix blanche, d'être grand, fort, d'avoir des jumelles et de crucifier son adversaire au fond du terrain avec des gestes de grand vizir.

L'identification marche à plein régime. Et elle nous réconforte. Parce que par ailleurs, si on en croit les Mayas qui n'avaient plus d'encre (il y a 4500 ans) pour prolonger leur calendrier, le 21...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias