«Le moustique tigre pique de jour, il peut venir en nuée et piquer plusieurs fois la même personne. Avec lui, l’apéro c’est fini», lance le biologiste Daniel Chérix, référence romande au sujet de cet insecte indésirable.
Le Valais est concerné au premier chef par cette menace qui plane sur les moments de convivialité en plein air. L’an passé, les premiers spécimens de cette espèce venue d’Asie sont apparus à Monthey. «Il y a un fort risque qu’il y soit toujours. Ce moustique passe très bien l’hiver. Il supporte aussi bien les grands froids que le chaud.»
Pour l’instant, il nous laisse tranquille. Mais cela risque de ne pas durer. «Il va se réveiller d’ici à quinze jours, trois semaines», estime Daniel Chérix.
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