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Une thérapie plutôt que l’internement à vie

Des experts croient un traitement possible pour le quadruple meurtrier, jugé depuis hier.

14 mars 2018, 00:01
QUALITY REPEAT - Thomas N. left, and Renate Senn, right, public defender in the trial for the quadruple murder of Rupperswil, on Tuesday, March 13, 2018 in Schafisheim, Switzerland. Thomas N. is accused of the murder of four people, a woman, two boys and a girl with a knife in a family home in Rupperswill. (KEYSTONE/Sibylle Heusser)

Thomas N. links, und Renate Senn, rechts,  Pflichtverteidigerin beim Prozess um den Vierfachmord von Rupperswil vor dem Bezirksgericht Lenzburg in Schafisheim (AG) am Dienstag, 13. Maerz 2018.  (KEYSTONE/Sibylle Heusser) SCHWEIZ GERICHTSZEICHNUNG PROZESS VIERFACHMORD RUPPERSWIL

Le procès du quadruple meurtrier de Rupperswil (AG) s’est ouvert hier. Le prévenu (34 ans) a, face au président du Tribunal de district de Lenzburg, qui siège à Schafisheim (AG) pour l’occasion, admis les faits.

Le 21 décembre 2015, à Rupperswil, le prévenu a égorgé une mère de famille de 48 ans, ses deux fils de 19 et 13 ans ainsi que la petite amie (21 ans) de l’aîné après avoir réussi, sous un prétexte, à pénétrer dans leur maison. Avant de tuer le cadet, il en a abusé sexuellement. L’homme a ensuite bouté le feu à la maison.

Pédophilie: peur et honte

L’accusé confie avoir ressenti de manière «très pesante» les mois qui ont séparé son crime du moment de son arrestation, en mai 2016. Pourtant, ses recherches sur internet, son espionnage de deux familles et les objets trouvés dans son sac à dos laissent entendre qu’il s’apprêtait à...

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