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Un registre national pour le don d’organes

02 oct. 2018, 00:01
ARCHIV -- ZUR LANCIERUNG DES NATIONALEN ORGANSPENDEREGISTERS VON SWISSTRANSPLANT AM MONTAG, 1. OKTOBER 2018, STELEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG -- During a heart-transplant operation on a seven-year-old child, Professor Rene Pretre, chief of surgery at the Children's Hospital Zurich in Zurich, Switzerland, holds the new, healthy heart in his hands. Picture taken in summer 2011. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Professor Rene Pretre, Chefarzt Chirurgie am Kinderspital Zuerich, haelt waehrend einer Herztransplantation an einem 7-jaehrigen Kind das neue, gesunde Herz in der Hand. Aufgenommen im Sommer 2011 in Zuerich. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ SWISSTRANSPLANT ORGANSPENDEREGISTER

Le don d’organes est facilité depuis hier. La fondation Swisstransplant a lancé le Registre national du don d’organes, une alternative moderne à la carte de donneur, destiné à rendre le choix des proches plus facile en cas de décès. Le Registre national permet ainsi aux proches de savoir plus facilement si le défunt voulait ou non faire don de ses organes et tissus, a indiqué Swisstransplant.

Pour la moitié des décès survenant dans une unité de soins intensifs, les proches ne connaissent pas la volonté du défunt sur cette question. Seules 5% des personnes décédées ont une carte de donneur sur elles. Dans 60% des cas, les proches refusent de prélever les organes d’un défunt. Le doute est souvent la raison qui les retient.

L’inscription au registre est facultative et peut être révoquée à tout moment, selon Franz Immer, directeur de Swisstransplant. Elle se fait via internet et doit être...

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