Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Un ex-élu UDC et un ancien ambassadeur poursuivis

Une première! Son immunité levée, Christian Miesch pourra être poursuivi. Le parquet vise aussi Thomas Borer.

13 sept. 2018, 00:01
ARCHIVBILD --- ZUR HEUTIGEN NACHRICHT DER AUFHEBUNG DER IMMUNITAET VON EX-NATIONALRAT CHRISTIAN MIESCH DURCH DAS PARLAMENT, STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG --- Nationalrat Christian Miesch, SVP-BL, verfolgt im Nationalrat die Debatte ueber die Verlaengerung des Swisscoy-Einsatzes (KEYSTONE/EQ IMAGES/Monika Flueckiger) SCHWEIZ IMMUNITAET CHRISTIAN MIESCH

L’ancien conseiller national Christian Miesch (UDC/BL) pourra être poursuivi par la justice en lien avec l’affaire kazakhe. Les commissions compétentes sont tombées d’accord, hier, pour lever son immunité parlementaire, une première.

En outre, dans la même affaire, Thomas Borer, ex-ambassadeur de Suisse à Berlin reconverti en lobbyiste, est aussi visé par le Ministère public de la Confédération (MPC) pour corruption active et octroi d’un avantage.

Christian Miesch, poursuivi pour corruption passive et acceptation d’un avantage, est soupçonné d’avoir reçu de l’argent pour déposer une intervention au sujet du Kazakhstan, et il n’a pas réussi à dissiper le soupçon de corruption qui pèse contre lui, a expliqué Mattea Meyer (PS/ZH), présidente de la commission d’immunité du National. Celle des Etats avait soutenu la levée de l’immunité en août.

Le MPC requis cette procédure, suite à des soupçons de corruption, passive et d’acceptation d’avantages de la part de Christian Miesch. Selon une...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias