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Un accord qui fait peur

En pleine crise autour des incendies en Amazonie, la Suisse et l’AELE signent un accord avec le Mercosur.

26 août 2019, 00:01
Bundesrat Guy Parmelin, Vorsteher des Departements fuer Wirtschaft, Bildung und Forschung WBF, spricht an einer Medienkonferenz zum Abschluss der Verhandlungen zwischen der Europaeischen Freihandelsassoziation EFTA (Island, Liechtenstein, Norwegen und Schweiz) und den Mercosur-Staaten (Argentinien, Brasilien, Paraguay und Uruguay), am Samstag, 24. August 2019, in Kloten. (KEYSTONE/Melanie Duchene) SCHWEIZ MK GUY PARMELIN

L’accord signé ce week-end à Buenos Aires entre les pays de l’AELE – dont la Suisse fait parie – et les pays sud-américains du Mercosur suscite la controverse: l’Union suisse des paysans (USP) «ne sait pas si elle pourra le soutenir» et les Verts annoncent déjà un référendum. En revanche, les milieux de l’industrie d’exportation non-agricole applaudissent.

Le président brésilien Jair Bolsonaro a été l’un des premiers à se féliciter de la signature de l’accord, avec un message sur Twitter: «une autre grande victoire pour notre diplomatie d’ouverture commerciale», a-t-il écrit, faisant dire à de nombreux commentateurs de la presse du dimanche, hier, que le conseiller fédéral en charge de l’Economie, Guy Parmelin (UDC), était «pris en otage» par le chef d’Etat brésilien, pris à partie en raison des incendies en Amazonie (lir en page Actu).

«La place économique suisse est renforcée»

Collègue de Guy Parmelin et président de...

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