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Tuerie de Zoug, 20 ans après: la Suisse a su trouver «un équilibre»

Vingt ans après la tuerie de Zoug, la proximité entre population et politiques est demeurée, malgré les mesures de sécurité.

25 sept. 2021, 00:01
/ Màj. le 25 sept. 2021 à 08:37
Le 27 septembre 2001, un forcené était entré, déguisé en policier, dans le bâtiment du Grand Conseil et avait ouvert le feu autour de lui.

Les Zougois se retrouveront lundi soir, avec le président de la Confédération Guy Parmelin, pour rendre hommage aux quatorze victimes du forcené qui, le 27 septembre 2001, était entré, déguisé en policier, dans le bâtiment du Grand Conseil et avait ouvert le feu autour de lui. Des mesures de sécurité ont par la suite été mises en place pour contrôler l’accès aux bâtiments publics. Mais «un équilibre a été trouvé» pour que le contact entre la population et les autorités demeure. C’est en tout cas la conviction de nombreuses personnalités.

Certains ne veulent plus raconter, surtout en période de commémoration, et renvoient au film «L’attentat de Zoug» (voir encadré). L’ancien conseiller d’Etat Hans-Peter Uster, qui a été ministre cantonal entre 1991 et 2006, a survécu aux balles, contrairement à trois de ses collègues au gouvernement, et il commente sobrement: «Toutes les cérémonies annuelles m’aident à vivre avec les événements...

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