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Trop de laxisme envers les casseurs

27 févr. 2017, 23:26
/ Màj. le 28 févr. 2017 à 00:01
Polizei bei der Reitschule in Bern nach einer Demonstration, am Samstag, 25. Februar 2017. Bei der Protestkundgebung am Samstagabend sind mehrere Personen verletzt worden. Ein Grossaufgebot der Polizei war im Einsatz. Nach der gewaltsamen Raeumung eines besetzten Hauses an der Effingerstrasse am letzten Mittwoch hatte die Gruppe "RaumRaub" zu einer Kundgebung aufgerufen, um f¸r "Freiraeume statt Zwangsraeumung" zu demonstrieren. (KEYSTONE/Stringer) SCHWEIZ BERN REITSCHULE AUSSCHREITUNGEN

Après les violents heurts de samedi soir aux alentours de la Reitschule, les autorités de la ville de Berne demandent plus que jamais une grande sévérité lorsqu’on s’attaque aux forces de l’ordre. «J’englobe aussi les pompiers, les ambulanciers et aussi les collaborateurs des services sociaux», déclare Reto Nause (PDC), conseiller municipal en charge de la Sécurité. «Je constate que cette façon de s’en prendre violemment aux représentants de l’Etat devient de plus en plus fréquente.»

Hier, les onze agents blessés par des jets de pierres et des lasers ou ayant subi des brûlures lors de l’affrontement de samedi ont pu tous sortir de l’hôpital. Reto Nause: «Le nombre de blessés est important, mais inférieur par rapport aux affrontements de mai 2013 à l’occasion de ‘Tanz dich frei’– une manifestation réclamant plus d’espace pour la vie nocturne – qui avaient fait une vingtaine de blessés dans les rangs des forces...

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