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Quand les élus tournent casaque

Par ambition ou en raison de querelles intestines, certains politiciens n’hésitent pas à changer de parti, avec plus ou moins de succès.

09 août 2019, 00:01
Die Parteipraesidenten Christophe Darbellay, CVP, links, und Christian Levrat, SP, diskutieren vor der Elefantenrunde des Schweizer Fernsehens in der Wandelhalle des Nationalrats im Bundeshaus, am Tag der eidgenoessischen Wahlen, am Sonntag, 18. Oktober 2015 in Bern. Die TV- und Radiostationen der SRG SSR senden am Wahltag zum ersten Mal einen Teil ihrer Berichterstattung direkt aus dem Parlamentsgebaeude. (KEYSTONE/Alessandro della Valle) SCHWEIZ WAHLEN 2015 BUNDESHAUS WAHLSTUDIO

Adhérer à un parti, c’est comme passer devant le maire. On signe pour le meilleur et pour le pire, mais il arrive que les partenaires évoluent ou fassent d’autres rencontres, et la rupture devient inévitable. Certains choisissent ensuite d’adhérer à une nouvelle formation, car il est difficile de résister à l’attrait de la politique une fois qu’on a attrapé le virus. Mais le succès n’est pas toujours au rendez-vous. Les politiciens qui tournent casaque doivent reconquérir leur électorat en démontrant qu’ils n’ont pas agi par simple opportunisme politique.

Le cas le plus emblématique est sans doute celui du Genevois Eric Stauffer. Le cofondateur du Mouvement des citoyens genevois (MCG) aspire à revenir sur le devant de la scène après avoir claqué la porte du MCG, qui ne voulait plus de lui comme président. Aujourd’hui installé en Valais, il est désespérément à la recherche d’un parti qui accepterait de faire...

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