D’un côté, l’américain F-35. De l’autre, ses trois rivaux, l’européen Eurofighter, le français Rafale et l’autre américain F/A-18 Super Hornet. Entre le nouveau favori et ses poursuivants, la course s’enflamme. Elle devrait, normalement, vivre son épilogue mercredi prochain, jour où le Conseil fédéral doit choisir le futur avion de combat de l’armée. Dans sa besace: un budget de six milliards de francs pour acquérir une flotte de 40 jets maximum. Jusqu’ici, les intentions du gouvernement restent floues, et les opposants de gauche affûtent leur riposte (lire ci-dessous).
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Fabriqué par Lockheed Martin, le F-35 concentre l’attention. Et pour cause. Selon la «NZZ» et la télévision SRF, la ministre de la Défense, Viola Amherd, pourrait le favoriser devant ses collègues: meilleur dans les tests techniques, ultramoderne (dit de la cinquième génération), moins cher à l’achat et...