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Le silence règne sur les problèmes psychiques

A l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale, une étude révèle qu’un Suisse sur cinq souffre de troubles psychiques.

11 oct. 2018, 00:01
Heidi Hanselmann (Regierungsraetin Kanton St. Gallen und Praesidentin Stiftungsrat Gesundheitsfoerderung Schweiz), Michael Hermann (Leiter Forschungsstelle sotomo) und Roger Staub (Pro Mente Sana), von links, nach der Medienkonferenz der Gesundheitsfoerderung Schweiz beim Cabaret Voltaire in Zuerich, am Mittwoch, 10. Oktober 2018. Mehr als 5‘500 Menschen haben an der Studie ueber das psychische Wohlergehen der Schweiz teilgenommen. Puenktlich zum 10. Oktober, dem internationalen Tag der psychischen Gesundheit, werden die Resultate praesentiert. (KEYSTONE/Patrick Huerlimann) SCHWEIZ ZUERICH GESUNDHEIT

Un Suisse sur cinq souffre actuellement de problèmes psychiques, selon une étude de la fondation Pro Mente Sana, réalisée à l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale. Mais le sujet reste tabou. Une campagne entend y remédier.

«Il faut déstigmatiser les troubles psychiques», a exhorté, hier, à Zurich, Heidi Hanselmann, ministre saint-galloise de la Santé et présidente du conseil de fondation de Promotion santé Suisse. «Ces problèmes peuvent toucher tout le monde», a-t-elle souligné lors de la présentation des résultats de l’étude.

A la question générale «Comment ça va?», 12% des sondés répondent «pas très bien» ou «mal», selon l’enquête. Et même un cinquième dit se trouver «actuellement» dans une situation de mal-être émotionnel prolongée. «Cela montre que lorsque l’on creuse, on se rend compte que la réalité est moins rose qu’elle ne paraît», explique Roger Staub, directeur de Pro Mente Sana.

Stéréotypes

Des différences ressortent selon...

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