Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Le patient doit estimer sa souffrance insupportable»

Jeudi, la Fédération des médecins suisses vote sur de nouvelles directives qui les divisent. Elles visent l’aide au suicide. Entretien avec Samia Hurst, de l’Université de Genève, qui a participé à leur élaboration.

23 oct. 2018, 00:01
THEMENBILD --- Die Pflegefachfrau Julia Sterk gibt im Pflegezentrum Erlenhof in Zuerich in der Abteilung fuer Demenz am 11. August 2005 einer Patientin etwas zu trinken. Die Schweizerische Gesellschaft fuer Palliative Medizin, Pflege und Betreuung palliative ch will das Lebensende nicht allein dem Schicksal oder der Sterbehilfe ueberlassen. Sie lanciert unter dem Titel swiss end of life care eine Koalition fuer Qualitaet der Betreuung am Lebensende, wie sie am Dienstag, 18. Dezember 2007, bekannt gab. Palliative Care sei keine Sterbehilfe. Sie wolle im Gegenteil vermeiden, dass als letzter Ausweg und bei drohendem Verlust der Selbstbestimmung nur noch die Selbstentsorgung bleibe, sagte Steffen Eychmueller, Co-Praesident palliative ch und Leitender Arzt der Palliativstation am St. Galler Kantonsspital. In den vergangenen Wochen und Monaten sei in der Schweizer Oeffentlichkeit intensiv ueber Sterbehilfe diskutiert worden. In den Hintergrund gerueckt sei dabei die Tatsache, dass in der Sc

Selon les directives proposées par l’ASSM, quels sont les critères qui entrent en ligne de compte pour une assistance au suicide?

Le patient doit estimer sa souffrance insupportable. Il faut que non seulement le médecin juge ce constat crédible, mais qu’il considère la personne comme capable de discernement. La souffrance peut être due à une maladie ou à une limitation fonctionnelle. Si une personne affirme être «fatiguée de vivre», cela n’entre pas dans les critères et exclut toute assistance au suicide. Par ailleurs, l’état du patient doit être incurable en pratique: il faut que toutes les thérapies possibles pour une maladie donnée aient été proposées et qu’elles aient échoué ou qu’elles ne constituent pas une option acceptable pour le patient. Un exemple concret: une personne ayant eu plusieurs chimiothérapies peut refuser d’en subir une de plus, si ses chances de guérison sont très réduites et si cette perspective lui semble...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias