A Genève, le contractuel a désormais une alliée redoutable: la Scan car Une petite voiture électrique, coiffée de caméras, qui sillonne les rues et photographie les plaques des véhicules garés. Celles-ci sont ensuite comparées à une base de données centralisant les différents droits de stationnement.
Une fois les clichés pris, que deviennent-ils? Si un droit de stationnement est confirmé, la donnée est directement effacée. Sinon, l’information est transmise à un agent de terrain, qui procède au contrôle. La suspicion est levée? La photographie est effacée dans l’heure.
En revanche, si le contrôle donne lieu à une amende, la donnée est conservée jusqu’à l’acquittement de cette dernière par l’automobiliste. A ce jour, la loi exige que la contravention soit remise sur le véhicule, ce qui, au regard des évolutions technologiques, pourrait bientôt changer.
De multiples fins
Des discussions sont d’ailleurs en cours au sein de l’administration, selon le porte-parole de l’Office...