ats
La Grève pour l’Avenir, hier, devait être le grand rendez-vous printanier des grévistes du climat, une journée-symbole de la convergence des luttes sociale et climatique. Coronavirus oblige, ils ont dû revoir leur plan tout en se faisant entendre, par des actions symboliques et en petits groupes dans les rues de quelques villes, notamment Lausanne, Bâle ou Zurich. Mais les rendez-vous avaient surtout été donnés sur internet et les balcons.