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«La cohésion sociale me semble menacée»

Hier les chambres fédérales choisissaient leurs présidents respectifs. Dominique de Buman a été élu à la présidence du Conseil national. Le premier citoyen du pays livre son credo politique.

27 nov. 2017, 23:27
/ Màj. le 28 nov. 2017 à 00:01
Dominique De Buman à la présidence du conseil national pour l'année 2018
Quelques instants avant l'élection
Photo Lib/Alain Wicht Berne,le 27.11.2017

C’est la consécration d’une carrière politique de plus de 30 ans: Dominique de Buman, 61 ans, a été élu hier après-midi à la présidence du Conseil national, où il siège depuis 2003. Le démocrate-chrétien, ancien syndic de la ville de Fribourg (1994-2004), a obtenu 160 voix (sur 189 bulletins rentrés). Ancien vice-président du PDC suisse, candidat malheureux à la candidature au Conseil fédéral en 2009, le juriste de formation prend de la hauteur en accédant au fauteuil de président. Premier citoyen, une position rêvée pour livrer son diagnostic sur l’état du pays. Entretien.

L’élection à la présidence du Conseil national est-elle la consécration de votre carrière politique?

C’est plutôt une marque de reconnaissance et de confiance de la part de mes collègues du Parlement. C’est, en effet, votre groupe parlementaire qui vous désigne comme candidat à la deuxième vice-présidence, dans la perspective d’accéder à la présidence deux ans plus...

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