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Ignazio Cassis: «J’ai pu mettre en avant mes connaissances de médecin pour dire qu’il fallait frapper vite et fort»

Le vice-président de la Confédération Ignazio Cassis parle de son rôle dans la gestion de la pandémie et des défis, comme le dossier européen, qu’il aura à relever durant cette année décisive pour lui. Première partie de notre grande interview.

05 févr. 2021, 00:01
/ Màj. le 05 févr. 2021 à 06:37
Bundesrat Ignazio Cassis fotografiert waehrend der Sommersession der Eidgenoessischen Raete, am Mittwoch, 12. Juni 2019 im Staenderat in Bern. (KEYSTONE/Anthony Anex)

Les éditorialistes le jugent isolé. Dans les médias, certains de ses diplomates dénoncent des incohérences, de l’agitation, voire du «stalinisme». Depuis son entrée au Conseil fédéral en 2017, le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis n’avait jamais semblé aussi affaibli. Entre le crucial et tentaculaire dossier européen, un dialogue complexe avec le géant chinois, et un positionnement difficile entre Israël et les Palestiniens, le libéral-radical aborde une phase particulièrement délicate. Curieusement absent sur le sujet de la pandémie ces derniers mois, l’ancien médecin tessinois se défend face aux critiques.

A lire aussi : Conseil fédéral: Ignazio Cassis va devoir jouer les équilibristes en 2021 après une année transparente

Ignazio Cassis, vous avez été le médecin cantonal du Tessin, l’un des cantons le plus touché par la pandémie. Désormais, vous faites partie de la majorité de droite au Conseil fédéral, qui a longtemps bloqué les mesures sanitaires. Faites-vous passer l’économie...

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