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Emplois sous pression

Les banques et l’industrie liée à l’automobile réduisent, parfois massivement, leurs effectifs.

16 janv. 2020, 00:01
A tram and passers-by at Paradeplatz square with the headquarters of the Swiss bank UBS in the background, in Zurich, Switzerland, on February 4, 2019. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Eine Tram und Passanten am Paradeplatz mit dem Hauptsitz der UBS im Hintergrund, am 4. Februar 2019 in Zuerich. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ ZUERICH PARADEPLATZ

C’est un paradoxe: Cela fait des années et des années que le chômage n’a pas été aussi bas dans les pays développés. Rien qu’en Suisse, il est descendu à 2,5% en décembre, selon le Secrétariat d’Etat à l’économie (4,5% selon l’Organisation de coopération et de développement économiques, qui applique des critères harmonisés au niveau international).

Pourtant, surtout au niveau européen, deux secteurs d’activité suppriment des emplois par dizaines de milliers: la banque et l’industrie automobile, les deux activités les plus affectées par les changements structurels apportés par l’innovation technologique. Avec des conséquences en Suisse aussi, qui vont se prolonger en 2020.

Dans notre pays, ce sont les banques qui sentent le vent du boulet le plus fort. Tout récemment, UBS annonçait la suppression de 500 emplois dans sa division de gestion de fortune dans le monde. Le mois précédent, la filiale helvétique de la banque française BNP Paribas annonçait...

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