Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Des milliers de femmes font valoir leurs droits

La Journée des droits des femmes, coronavirus oblige, s’est «morcelée», sans que les revendications perdent en force.

09 mars 2020, 00:01
Des femmes manifestent avec des masques et chantent "Un violador en tu camino" (un violeur sur ton chemin) a l'occasion de la Journee internationale des droits des femmes, ce dimanche 8 mars 2020 a Geneve. La greve feministe est maintenue, malgre l'epidemie de coronavirus COVID-19. Afin de respecter les consignes sanitaires, le collectif n'organise pas de grands rassemblements, mais des actions destinees a rendre les luttes visibles de la manifestation feministe a Geneve. (KEYSTONE/Martial Trezzini) SUISSE DEMO JOURNEE DROITS DES FEMMES

Le coronavirus a obligé les organisateurs des événements marquant la Journée internationale des droits des femmes, hier, à s’adapter. Mais pas question de renoncer à revendiquer des droits.

En guise de parade aux interdictions de réunions en trop grand nombre, les Vaudois ont démultiplié et décentralisé la manifestation prévue à Lausanne. Celle-ci a bien eu lieu, mais d’autres aussi à Renens, Morges, Yverdon, Vevey et Nyon. Une première action a eu lieu dans la nuit. «Occupons l’espace public dans tout le canton: dans nos quartiers, nos villes et nos lieux de vie! Le coronavirus nous sépare, mais nous continuons à lutter ensemble!», invitait le Collectif vaudois de la grève féministe. A Lausanne même, le grand rassemblement prévu à la gare, hier, à la mi-journée, a été remplacé par des minimanifestations dans quatre lieux de la capitale vaudoise, avec quatre thèmes: les retraites et les rentes, l’écoféminisme, les étudiantes ainsi que...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias