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Compromis sur les armes soutenu

Les sénateurs ont accepté un compromis entre la directive européenne et le lobby des tireurs.

12 sept. 2018, 00:01
ARCHIV - Ein Schuetze entlaedt eine Gewehrhuelse aus seinem Karabiner am Samstag, 2. Juni 2007, im Schuetzenhaus in Oberei Suederen ob Thun. Die 15 im Schweizer Schiesssportverband vereinigten Organisationen sehen durch die Initiative "Fuer den Schutz vor Waffengewalt" das Schiessen als Breiten- und Volkssport gefaehrdet. In einer Resolution rufen sie zur Ablehnung des Begehrens auf. Nach der "abscheulichen Tat von Zuerich-Hoengg", wo ein Soldat mit seinem Sturmgewehr eine 16-Jaehrige erschossen hatte, sei der "Aktivismus" gestiegen, hiess es am Donnerstag, 21. Februar 2008 in einem Communique. (KEYSTONE/Peter Schneider)  SCHWEIZ SCHUETZEN INITIATIVE RESOLUTION

Une révision de la loi sur les armes est nécessaire si la Suisse veut rester dans Schengen. Le Conseil des Etats a adopté, hier, par 34 voix contre six, un compromis entre la directive européenne et le lobby des tireurs. Un référendum n’est pas écarté.

La Suisse doit conserver les accords de Schengen/Dublin pour sa sécurité et son économie, a déclaré Josef Dittli (PLR, UR). Elle s’est engagée à reprendre le droit européen d’ici à mai 2019, sous peine de voir les accords dénoncés. La directive européenne doit rendre plus difficile l’accès aux armes susceptibles de faire beaucoup de victimes, comme les armes semi-automatiques. «La Suisse est libre de reprendre ou non cette directive. Personne ne lui dicte sa ligne de conduite», a souligné la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, en réponse à Alex Kuprecht (UDC, SZ).

Outre le fait de douter de l’efficacité de ce projet pour la sécurité européenne,...

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