Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Cassis doit biffer la Cour de l’UE»

Le président de l’UDC Albert Rösti attend le nouveau ministre PLR Ignazio Cassis au contour. A mi-législature, il aborde d’autres sujets chauds.

27 oct. 2017, 23:21
/ Màj. le 28 oct. 2017 à 00:01
Albert Roesti, SVP-Parteipraesident, vor der "Elefantenrunde" mit den Parteipraesidenten vor, am Sonntag, 5. Juni 2016, in Bern. Das eidgenoessische Stimmvolk hatte am heutigen Abstimmungssonntag ueber die drei Initiativen "Pro Service Public", "fuer eine faire Verkehrsfinanzierung (Milchkuh-Initiative)" und "fuer ein bedingungsloses Grundeinkommen" sowie ueber die Referenden gegen die Aenderung des Asylgesetzes und gegen die Aenderung des Fortpflanzungsmedizingesetzes zu befinden. (KEYSTONE/Manuel Lopez) SCHWEIZ EIDGENOESSISCHE ABSTIMMUNGEN ELEFANTENRUNDE

La moitié de la législature 2015-2019 est atteinte. Le moment d’évoquer, avec le président de l’UDC, le Bernois Albert Rösti, les grands sujets du moment, comme la politique européenne. Un dossier marqué par l’entrée en fonction, mercredi prochain, du nouveau ministre des Affaires étrangères, Ignazio Cassis (PLR).

Vous avez porté Ignazio Cassis au pouvoir et il a notamment promis de remettre les compteurs à zéro (presser le bouton «reset») avec l’Union européenne (UE). Quelles sont vos attentes à son égard?

La meilleure des choses serait d’amener le Conseil fédéral à adopter un nouveau mandat de négociations avec Bruxelles, qui ne donnerait plus aucun pouvoir à la Cour de justice de l’UE dans le règlement des désaccords. Ignazio Cassis devrait aussi dire à l’Union européenne qu’un accord-cadre institutionnel ne réunira jamais de majorité en Suisse. L’UE souhaite que la Suisse reprenne automatiquement son droit, ce qui est clairement inacceptable.

Cela...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias