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«Une personne sur cinq sera victime d’abus, il n’y a pas de raison que le Valais du sport y échappe», selon Marco Tuberoso (ESPAS)

Marco Tuberoso, responsable prévention auprès d’ESPAS, énumère les activités de cette association et apporte ses conseils aux clubs sportifs. Il les met aussi en garde. Les sports de masse sont aussi concernés par les abus sexuels.

25 févr. 2020, 19:00
Les contacts entre moniteurs et jeunes athlètes sont réguliers dans plusieurs sports. C'est la limite qu'il faut définir.

Marco Tuberoso, vous êtes le responsable prévention auprès d’ESPAS. Qui sont vos partenaires sportifs en Valais?

Il n’y a plus que l’Association valaisanne de football (AVF) avec laquelle nous travaillons depuis plusieurs années. Nous collaborons avec d’autres structures, étatiques notamment.


Pourquoi si peu de répondant, en Valais?

Je ne comprends pas. Depuis dix ans, toutes les structures de sport ont reçu un courrier présentant nos prestations. En 2016, nous avions été invités à une rencontre avec tous les présidents des fédérations sportives. Après quoi, nous avions relancé ces structures. Je n’ai pas eu le moindre retour. Ça m’étonne d’autant plus que nous avons une antenne en Valais.

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Ça vous navre?

Bien sûr parce qu’il y a des enfants concernés. Les abus sexuels sont une réalité. Et si ESPAS a une antenne en Valais, c’est...

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