Gaël Monfils avait lancé le débat avant-hier après sa défaite contre Novak Djokovic. «Nous avons pris des risques. Peu importe combien de temps on s’est entraîné dans la chaleur, peu importe à quel point on l’aime: c’est très dur. Pour moi, si quelqu’un se résout à abandonner, il n’y a pas de honte.» Certains de ses pairs ont évoqué des conditions inhumaines, d’autres (Maria Sharapova, Grigor Dimitrov) s’accommodent de la situation et sont bien loin de se rallier à cette cause. Le Français Julien Benneteau a parlé jeudi de se rendre «à l’abattoir». Hier à Melbourne Park, le pic a été atteint à 14 h 25 avec 40,2 degrés. «C’était vraiment horrible», a assuré la Croate Petra Martic, qui s’est estimée «chanceuse» d’avoir pu jouer son troisième tour dans la Rod Laver Arena, «parce qu’il y avait un petit peu d’ombre à l’arrière. On pouvait ainsi aller s’y réfugier...
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«Nous sommes des psychopathes!»
Les conditions étaient extrêmes à Melbourne, où le thermomètre a affiché plus de 40 degrés. Les matchs n’ont été ni retardés ni arrêtés. Et cela ne plaît pas à tout le monde.
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