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Maria, paria devenue pasionaria

Gagnante du choc du premier tour contre Simona Halep, Maria Sharapova est de retour aux affaires

29 août 2017, 23:17
/ Màj. le 30 août 2017 à 00:01
epa06169525 Maria Sharapova of Russia reacts after upsetting number 2 seed Simona Halep of Romania on the first day of the US Open Tennis Championships at the USTA National Tennis Center in Flushing Meadows, New York, USA, 28 August 2017. The US Open runs through September 10.  EPA/DANIEL MURPHY *** Local Caption *** 53000073 USA TENNIS US OPEN GRAND SLAM 2017

Elle divise, crée la polémique, suscite le débat. Elle? C’est Maria Sharapova, diva adulée autant par sa plastique que pour son tennis. Maria Sharapova? Une princesse inaccessible et capricieuse devenue tsarine maudite pour avoir, un certain jour de janvier 2016, touché au dopage. Contrôlée positive au meldonium (produit servant à récupérer plus rapidement d’efforts physiques importants), la fautive a écopé d’une suspension de quinze mois.

L’histoire aurait pu s’arrêter là, être blanchie et disparaître dans les coulisses du temps s’il ne s’agissait pas de Maria Sharapova. Avec pareille championne surprise la main dans l’armoire à pharmacie, ce sont cinq titres de Grand Chelem – dont un dans chacune des quatre levées – qui sont à jamais maculés.

«Tricheuse»

Déjà peu appréciée dans le vestiaire, Maria est devenue paria. Porte-parole de la partie silencieuse, Eugenie Bouchard s’est posée en inquisitrice. Elle n’a pas hésité à qualifier la Russe de «tricheuse» au...

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