Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La relève de l’empire américain

Après le premier tour, neuf des onze joueurs US chez les hommes ont déjà quitté Paris. Mais la cause américaine n’est pas perdue. Une nouvelle génération, talentueuse, pointe le bout de la raquette.

30 mai 2017, 23:22 / Màj. le 31 mai 2017 à 00:01

Ils étaient onze au départ. Ils ne sont, déjà, plus que deux. C’est une évidence. Andy Roddick, dernier Américain vainqueur en Grand Chelem – l’US Open 2003 – n’est pas près de passer la main. Ni à Paris, où Andre Agassi attend un successeur depuis 1999, ni ailleurs. Voilà qui fait un peu tâche dans le tableau d’une nation qui a produit tant de champions et qui compte plus de 320 millions d’habitants.

Bien sûr, Jack Sock et Sam Querrey, en dépit de leur statut de tête de série, n’étaient pas considérés comme de véritables terriens susceptibles de prolonger au-delà du raisonnable leur séjour à la Porte d’Auteuil. «Je m’étais quand même rendu à Majorque afin de m’entraîner sur terre, relève Jack Sock. Au final, j’ai vécu une journée horrible. C’est une énorme déception, d’autant que j’aime jouer sur terre.»

Il n’y avait pas de raison légitime d’en attendre...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias