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La clé de son retour, c’est son revers

A plus de 35 ans, le Bâlois a réussi à gommer l’un de ses rares points faibles au point de tenir l’échange avec Rafael Nadal là où il était le plus vulnérable.

30 janv. 2017, 23:30 / Màj. le 31 janv. 2017 à 00:01
epa05758460 Roger Federer of Switzerland in action against Rafael Nadal of Spain during their Men's Singles final match at the Australian Open Grand Slam tennis tournament in Melbourne, Victoria, Australia, 29 January 2017.  EPA/LYNN BO BO AUSTRALIA TENNIS AUSTRALIAN OPEN GRAND SLAM

De tous les coups du tennis, il n’y en a qu’un seul que Roger Federer, depuis le début de sa carrière, maîtrisait un peu moins bien. C’est le revers lifté, ou légèrement recouvert. Autant il pouvait faire mal à ses adversaires en slice, autant il était fébrile lorsqu’il devait tenir l’échange ou accélérer de ce côté-ci. Or, à Melbourne, le Bâlois a non seulement tenu la cadence en revers. Il a commis peu de fautes directes et s’est même offert quelques points gratuits du côté où, traditionnellement face à Rafael Nadal, il finissait par «exploser». «Il est plus explosif, relève Yves Allegro pour qui le changement a été amorcé voici quelques mois déjà. Il est aussi plus affûté, il se déplace mieux. Sa transition défense-attaque est meilleure. Quand tu es plus vite sur la balle, tous les coups sont plus faciles à exécuter.» Dans «L’Equipe», Mats Wilander ne l’a «jamais...

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