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«Je suis née pendant Roland-Garros». La chronique de Timea Bacsinszky

Timea Bacsinszky, médaillée d’argent en double aux Jeux olympiques de Rio en 2016, demi-finaliste à Roland-Garros en 2015 et 2017, parle du début de la saison sur terre battue.

22 avr. 2021, 19:00
La joueuse de tennis suisse Timea Bacsinszky pose apres un entrainement sur un terrain de Swiss Tennis le mardi 26 mai 2020 a Bienne. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Je suis née un jeudi 8 juin. Je suis donc née pendant Roland-Garros, mon tournoi préféré, celui où j’ai toujours voulu briller et où j’ai atteint par deux fois les demi-finales. A la maternité, ma mère regardait un match de Monica Seles à la télévision. Raison pour laquelle, aussi, Seles est une joueuse que nous apprécions beaucoup et que j’ai essayé de prendre en exemple. Un rêve aurait été de soulever le trophée le jour de mon anniversaire. Las pour moi, j’ai perdu une demi-finale, contre la Lettone et future lauréate de l’épreuve Jelena Ostapenko, le jour de mes 28 ans sur le court Philippe Chatrier. Sur le moment, la défaite n’avait pas été facile à encaisser. Mais elle est aujourd’hui à ranger dans la catégorie des bons souvenirs.

A Paris, j’étais en mission. En mode «guerrière». Mais si je vous parle de Roland-Garros, c’est aussi pour évoquer le printemps...

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