Sébastien Buemi, vous avez vécu dix jours assez intenses entre le succès aux 24 Heures du Mans et votre podium à Berne…
C’étaient les deux week-ends les plus importants de l’année, pour moi. En plus, ils se suivaient. Ça me tenait à cœur d’obtenir de bons résultats. Au final, ça s’est donc très bien passé. Il faut savoir que Le Mans, c’est un vrai marathon de cinq mois. Depuis janvier, nous effectuons de grosses séances d’endurance, huit phases de 30 heures afin de préparer cette épreuve. En mai, il y a un premier test officiel avant la semaine proprement dite. Autant dire qu’avant même de s’élancer, nous sommes déjà bien entamés.
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Ce deuxième succès aux 24 Heures du Mans aux côtés de Fernando Alonso et de Kazuki Nakajima vous offre, en plus, un deuxième titre mondial après 2014. Les circonstances...