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Rallye du Valais: elles refusent de trembler de peur pour leur pilote de mari. Témoignages de trois Valaisannes

Les épouses de pilotes ou de navigateurs automobiles sont conscientes du danger qui entoure la discipline. Elles refusent toutefois d’en faire une obsession. Rencontre avec Stefanie Devanthéry, Joelle Carron et Sarah Grand à quelques heures du départ du Rallye international du Valais.

18 oct. 2018, 05:30
Joelle Carron, épouse du triple champion de Suisse Sébastien Carron, avoue que l'incident de son mari les a peut-être fait réfléchir aux risques qui existent dans le rallye.

Certaines sont tombées dans la marmite du rallye très jeunes comme leurs maris. D’autres ont découvert la discipline en les rencontrant. Mais les épouses de pilotes et copilotes semblent s’accorder sur un point: le rallye et le sport automobile plus globalement ne sont pas sans risques. Elles refusent toutefois de s’attarder sur ce sujet et d’en faire une obsession. C’est que le risque existe partout. «Même en descendant un escalier devant chez soi», comme le rappelle Joelle Carron, épouse du triple champion de Suisse Sébastien. Rencontre avec les épouses d’Aurélien Devanthéry qui disputera le Rallye international du Valais, de Joël Grand qui prendra place dans la voiture «0» et qui est un habitué des courses de côte et de Sébastien Carron, qui a notamment mis un terme à sa carrière en début d’année suite à une sortie de route.

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