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«Mon Grand Prix de Rome a commencé en France». La chronique de Sébastien Buemi

Avant le Grand Prix de Rome de formule E qu’il disputera samedi, Sébastien Buemi décrypte l’approche de l’événement.

11 avr. 2019, 18:00
Sébastien Buemi s'offre un moment de récupération lors de la session d'essais disputée sur le circuit Ricardo Tormo de Cheste durant l'automne.

Au moment où vous lirez ces lignes, je serai à Rome pour y disputer le Grand Prix programmé samedi. Ce retour en Europe fait du bien. Le championnat a commencé par six épreuves courues sur d’autres continents. Au Moyen-Orient, au Maroc, en Amérique du Sud ou en Asie. Une course à Rome peut surprendre les gens qui ont connu ses grandes rues pavées et bosselées des quartiers historiques. Le tracé évite ces zones touristiques. Certains secteurs ont même reçu un nouveau revêtement.

Je me lancerai samedi dès 7 h 30 pour les premiers essais libres. Un important travail d’approche les a précédés durant toute la semaine. En fait, mon Grand Prix de Rome a commencé en France. J’étais au Mans lundi et mardi au siège de l’atelier de Dams, mon écurie. Nous y disposons d’un simulateur qui nous permet de nous entraîner pour l’épreuve suivante. Un scan permet même de...

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