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Les Valaisans Ismaël Vuistiner et Florine Kummer luttent contre le chrono, la fatigue et la douleur au rallye Monte-Carlo

Le Monte-Carlo, première manche du championnat du monde 2018, a bâti sa légende sur des conditions de course éprouvantes. Ismaël Vuistiner et Florine Kummer les découvrent cette semaine.

25 janv. 2018, 20:00
Ismaël Vuistiner et Florine Kummer débutent leur périple jeudi soir. Ils termineront leur première journée aux alentours de deux heures du matin.

«Dimanche soir, ils seront raides.» L’aveu émane de Brice Zufferey. Le promoteur d’activités de rallye en Suisse a déjà assisté à plusieurs manches mondiales de l’intérieur. Dont le mythique Monte-Carlo. Autant écrire qu’il sait de quoi il parle. S’il est certain que ses «protégés» vont souffrir, c’est qu’ils ne sont pas forcément habitués à ce genre de course. D’un profil spécifique et d’une longueur qui l’est tout autant, le rallye Monte-Carlo est connu pour sa brutalité. Pour bien comprendre, imaginez le rallye international du Valais.

Réputé pour sa longueur et son caractère nerveux qui met les organismes à rude épreuve, il propose 200 kilomètres de kilomètres chronométrés. L’épreuve française en propose le double. Qui plus est, répartis sur quatre jours. Voilà qui donne suffisamment de temps aux équipages de cogiter.

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Difficile avant même d’avoir pris le...

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